Lundi 30 août 2010 à 12:16

Suis dans ma voiture en train d'attendre ke mon amie finisse de rouler d pelle a son copain. Solitude kan tu nous tient....

Jeudi 1er juillet 2010 à 19:29

Je suis montée sur une banche et c'était le toit du monde.

Et partout se chuchote que c'est un monde de poésie

Il y a une éminence grise dans sa tour de métal qui surveille les rampants
Il y a le lutin rieur aux drôles d'incisive
Il y a le faiseur de sol silencieux qui communique depuis les frontière de son monde
Il y la petite peste à moustache qui parle d'une voix aigüe
Il y le couple qui n'est pas gay mais qui se réclame à grand cris
Il y a le touche-à-tout à qui sait vous faire parler
Il y a les deux mégères qui vous regardent sévèrement
Il y a un chef de clan qui a des tache de rousseur et de crème solaire
Il y a un vieux sage qui n'aime pas le piment

Il y en a tellement d'autres.

C'était un chantier
C'était leur monde
C'était le mien le temps d'un soupir
Merci.

Samedi 12 juin 2010 à 18:52

Vendredi 11 juin 2010 à 17:12

Je pensais n'avoir en séquelle qu'une radinerie trop prononcée. Mais je me trompais. Ces choses là se terre au fond de vous, silencieuses, presque mortes. Elles se nourrissent de vous. Vous grignotent de l'intérieur si insidieusement que, avant que vous ne vous en rendiez compte, elle sont devenues une partie de ce qui fait votre être. Et puis un jour, à cause de rien, de pas grand chose, vous vous rendez compte que vous avez peur. Que vous êtes terrifiés. Que vous êtes hantés par la crainte de tout perdre.
Je voulais une maison. Je voulais un foyer. Et je ne le savais même pas.
N'importe où. Je serai chez moi n'importe où. Je ne serai pas difficile, c'est promis. Mais, s'il vous plait, ce que vous m'avez donné, ne me l'enlevez pas.
Je veux une maison. Je veux un chez-moi...

Mardi 25 mai 2010 à 7:13

"Qu'avait-il bien pu lui arriver pour qu'elle soit comme ça ? s'interrogea Tibby. Une tragédie? Un deuil ? Quel terrible drame avait pu la faire sortir du tapis roulant de la vie vers l'âge de quatorze ans ?
Ou alors, plus insidieusement, avait-elle au contraire tourné en rond ? Avait-elle coupé l'une après l'autre les branches de la vie jusqu'à ce que son existence ne puisse plus prendre qu'un seul chemin ?
Margaret avait-elle peur de l'amour ? C'était peut-être ça... avait-elle quitté la course au moment où tout le monde commençait à se mettre en couple ?"

Quatre filles et un jean , le troisième été

<< Page précédente | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Page suivante >>

Créer un podcast