Mardi 29 décembre 2009 à 6:52

Coups de soleil et eau salée. Du sable dans les cheveux et des osselets en coque de filaos. Nous allongés sur le sable à raconter n'importe quoi. Quatre inconnus qui se sont rencontrés à ces croisées du hasard. Et qui l'eut deviné ? Et qui eut dit que ça allait tourner comme ça ? C'était juste vous et elles et moi sur un trottoir un matin alcoolisé. Et une bouteille de schweps agrume.
J'aime me sentir moi-même quand je suis avec vous. J'aime que vous ne me forciez pas à jouer un rôle. J'aime rire de vos blagues débiles même si des fois elles durent trop longtemps. J'aime que vous nous preniez comme nous venons. Folles. Stupides. Ironiques. Acides. Que vous ne nous en demandiez pas plus. Pas moins. J'aime cette histoire sans complication.

Je la prends comme elle vient. Je ne lui en demande pas plus.
Je veux juste qu'elle soit.
Je voudrait juste qu'elle dure.


Boucan for ever my beach

Samedi 26 décembre 2009 à 13:26

Never-trust-a-fish fall in love with Mika
Loves his childish smile
His childish eyes
His childish way of acting

http://dreaming-again.cowblog.fr/images/mika.jpg

Mercredi 23 décembre 2009 à 19:43

Frozeninside
so never trust a fish
http://dreaming-again.cowblog.fr/images/SaveMeFromThisColdInsidebysoulofautumn87.jpg

Mercredi 23 décembre 2009 à 18:54

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Cette maison s'est construite comme la réponse à la question suivante : que deviendrait l'architecture si jamais l'homme venait à disparaître ?
Sorte de décor de scénario post-catastrophique, elle est loin de présenter une vision apocalyptique des choses. Elle ne se situe pas dans l'action mais dans ce qui suit : elle est ce qui sort du calme après la tempête, quand le monde se retrouve dépouillé de l'être humain et que la nature reprend ses droits. Le silence tombe et, lentement, l'artidicialité se fait grignoter, fagociter, un peu à la manière d'un virus attaqué par le système immunitaire. L'architecture est alors digéré par le naturel, assimilée.Elle se fond en lui, se confond, se transforme. L'artificiel et le naturel flirtent donc et se provoquent, puor finalement se rejoindre dans le silence. Compromis à l'avantage du second, l'architecture obtient de garder ses formes linéaires et carrées, le naturel tout le reste : matière, couleur, enveloppe, parfum... Dans cet accouplement conflictuel, il l'écrase de sa force pour l'étouffer et l'effacer, elle, elle résiste comme elle peut, privée du soutient de l'humanité.
Cette maison est l'illustration de cet affrontement. Elle est la couleur sur le gris de l'asphalte et de la poussière, cette couleur qui réapparaît une fois que la nature a abattu les frontière dressées par l'Homme.


Délire d'une étudiante d'architecture
S3, projet 1

Mardi 22 décembre 2009 à 15:40

Juste laisser le vent m'emporter
Juste laisser la pluie me diluer
M'endormir pour toujours et me perdre dans mes rêves
Devenir une autre personne avec une autre vie
Danser toute la nuit pour que l'euphorie dure tout le temps
Effacer les mauvais souvenir à coup de tequilla
Te vomir de moi pour que tu disparaisses
Te vomir de moi si jamais tu es encore là
Te vomir de moi pour avancer
Te vomir de moi pour cesser d'aligner les rythmes
Te vomir de moi pour être plus légère
Et vomir les mots pour me sentir vivante
Never trust a fish will never dream again

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