Loves his childish smile
His childish eyes
His childish way of acting
Samedi 26 décembre 2009 à 13:26
Mercredi 23 décembre 2009 à 18:54
Cette maison s'est construite comme la réponse à la question suivante : que deviendrait l'architecture si jamais l'homme venait à disparaître ?
Sorte de décor de scénario post-catastrophique, elle est loin de présenter une vision apocalyptique des choses. Elle ne se situe pas dans l'action mais dans ce qui suit : elle est ce qui sort du calme après la tempête, quand le monde se retrouve dépouillé de l'être humain et que la nature reprend ses droits. Le silence tombe et, lentement, l'artidicialité se fait grignoter, fagociter, un peu à la manière d'un virus attaqué par le système immunitaire. L'architecture est alors digéré par le naturel, assimilée.Elle se fond en lui, se confond, se transforme. L'artificiel et le naturel flirtent donc et se provoquent, puor finalement se rejoindre dans le silence. Compromis à l'avantage du second, l'architecture obtient de garder ses formes linéaires et carrées, le naturel tout le reste : matière, couleur, enveloppe, parfum... Dans cet accouplement conflictuel, il l'écrase de sa force pour l'étouffer et l'effacer, elle, elle résiste comme elle peut, privée du soutient de l'humanité.
Cette maison est l'illustration de cet affrontement. Elle est la couleur sur le gris de l'asphalte et de la poussière, cette couleur qui réapparaît une fois que la nature a abattu les frontière dressées par l'Homme.
Délire d'une étudiante d'architecture
S3, projet 1
Mardi 22 décembre 2009 à 15:40
Lundi 21 décembre 2009 à 19:22